Comme toutes les armoires dans une cuisine conventionnelle, les meubles sans poignée sont constitués de deux parois latérales (1), d’une planche inférieure (2), de deux entretoises (4) et d’un dos en retrait (3).
La particularité d’une armoire sans poignée est l’encoche latérale (6) afin de placer la « poignée » (5). L’emplacement de l’encoche est déterminé par le nombre et la grandeur des panneaux de porte. En planifiant ce genre de cuisine, le but est surtout de mettre sur pieds un beau jeu de lignes avec les rainures et de tout de même conserver une répartition optimale de la cuisine.
Les vrais spécialistes de la cuisine réussissent souvent à réaliser de magnifiques cuisines, tout aussi pratiques qu’esthétiques.
C’est surtout au niveau de l’entretien que ce modèle est pratique. Dans les cuisines sans poignée, les côtés des derniers meubles sont souvent terminés par un panneau de finition (3) contre lequel la rangée de poignées (2) s’arrête.
Pour les ilots, le coin extérieur peut être arrondi, comme montré sur l’image de droite, en chanfreinant le coin de la rainure et en plaçant un panneau de façade (1) contre la paroi latérale. Ce dernier est du plus bel effet sur les plus grands ilots.
Jusqu’il y a peu, un des problèmes avec les cuisines sans poignée était l’encastrement d’un frigo à deux portes. Une solution à cela est à présent offerte : l’utilisation d’une rainure verticale. Le côté de l’armoire est creusé et on place une rainure à l’intérieur ; ainsi, on peut attraper la porte par le côté pour ouvrir l’appareil. On peut éventuellement dégager pour une armoire le côté gauche pour l’autre le côté droit afin de pouvoir ouvrir les deux armoires sur le côté.
Avec les armoires sans poignées, on fait en sorte que le corps du meuble soit plus profond afin que la porte ne dépasse que de quelques millimètre par rapport au bord du plan de travail. Ainsi, le bord supérieur de la porte est plus facile à atteindre, et donc à ouvrir.
Pour les armoires suspendues, il existe deux façons de les ouvrir sans poignée. Dans le premier cas, on laisse simplement dépasser la porte de 1 à 2 cm par rapport au corps (1).
Dans le second cas, le fond du meuble est moins profond afin de pouvoir ouvrir la porte. Dans beaucoup de cuisine, cette ouverture est pourvue d’un profil creux afin d’avoir une bonne prise tout en préservant des poussières l’intérieur du meuble (2). Comme éventuelle troisième options, on peut utiliser le système Tip-on. En appliquant une légère pression sur la porte, celle-ci va s’ouvrir de quelques centimètres, suffisamment pour passer la main et continuer à l’ouvrir. Avec cette solution, on peut utiliser une armoire haute normale en adaptant les charnières et en installant le système Tip-on. Ce principe est souvent utilisé dans l’industrie automobile pour ouvrir toutes sortes de boites et de vannes.
La particularité d’une armoire sans poignée est l’encoche latérale (6) afin de placer la « poignée » (5). L’emplacement de l’encoche est déterminé par le nombre et la grandeur des panneaux de porte. En planifiant ce genre de cuisine, le but est surtout de mettre sur pieds un beau jeu de lignes avec les rainures et de tout de même conserver une répartition optimale de la cuisine.
Les vrais spécialistes de la cuisine réussissent souvent à réaliser de magnifiques cuisines, tout aussi pratiques qu’esthétiques.
C’est surtout au niveau de l’entretien que ce modèle est pratique. Dans les cuisines sans poignée, les côtés des derniers meubles sont souvent terminés par un panneau de finition (3) contre lequel la rangée de poignées (2) s’arrête.
Pour les ilots, le coin extérieur peut être arrondi, comme montré sur l’image de droite, en chanfreinant le coin de la rainure et en plaçant un panneau de façade (1) contre la paroi latérale. Ce dernier est du plus bel effet sur les plus grands ilots.
Jusqu’il y a peu, un des problèmes avec les cuisines sans poignée était l’encastrement d’un frigo à deux portes. Une solution à cela est à présent offerte : l’utilisation d’une rainure verticale. Le côté de l’armoire est creusé et on place une rainure à l’intérieur ; ainsi, on peut attraper la porte par le côté pour ouvrir l’appareil. On peut éventuellement dégager pour une armoire le côté gauche pour l’autre le côté droit afin de pouvoir ouvrir les deux armoires sur le côté.
Avec les armoires sans poignées, on fait en sorte que le corps du meuble soit plus profond afin que la porte ne dépasse que de quelques millimètre par rapport au bord du plan de travail. Ainsi, le bord supérieur de la porte est plus facile à atteindre, et donc à ouvrir.
Pour les armoires suspendues, il existe deux façons de les ouvrir sans poignée. Dans le premier cas, on laisse simplement dépasser la porte de 1 à 2 cm par rapport au corps (1).
Dans le second cas, le fond du meuble est moins profond afin de pouvoir ouvrir la porte. Dans beaucoup de cuisine, cette ouverture est pourvue d’un profil creux afin d’avoir une bonne prise tout en préservant des poussières l’intérieur du meuble (2). Comme éventuelle troisième options, on peut utiliser le système Tip-on. En appliquant une légère pression sur la porte, celle-ci va s’ouvrir de quelques centimètres, suffisamment pour passer la main et continuer à l’ouvrir. Avec cette solution, on peut utiliser une armoire haute normale en adaptant les charnières et en installant le système Tip-on. Ce principe est souvent utilisé dans l’industrie automobile pour ouvrir toutes sortes de boites et de vannes.